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Irrésistible Lolita

Il faut que je vous dise : Elle est magnifique, elle est superbe, elle est belle.

Je suis amoureux, et je ne pourrais pas être amoureux d'une belle écervelée. Donc vous l'aurez compris, Lolita est loin d'être une conne (appelons un chien, un chien).

Alors certes, je n'ai peut-être pas le recul nécessaire pour juger de sa beauté, d'autant plus que les critères qui la régissent restent d'autant plus subjectifs, mais j'ai quand même mon mot à dire ; à écrire.

Nous nous sommes revus hier. Pour notre plus grand plaisir bien évidemment. Et nous avions une bonne partie de la matinée et le début d'après-midi pour profiter l'un de l'autre.

Que faire ? Hôtel pendant 5 ou 6 heures ? Plage, déjeuner et hôtel ? Petite randonnée, déjeuner puis hôtel ? Ou profiter d'un été qui s'éternise, de températures estivales qui vont nous faire oublier l'automne, et de la possibilité de passer tout notre temps au bord d'un lac, seuls au monde, et cette fois-ci sans orage ? (Cf : http://wix.to/21CL0UA?ref=2_cl)

Étrange comme la météo à cet endroit peut influer sur la fréquentation du lieu ! Autant nous étions les seuls âmes vivantes l'année dernière sous les trombes d'eau ; autant hier, sous un soleil éclatant, il n'était pas facile d'avoir notre propre intimité.

Mais nous avons composé avec.

Les fois où nous ne nous sommes pas rendus à l'hôtel et avons préféré profiter des grands espaces ne sont pas si nombreuses. Et chose étrange, il me semble que je n'ai jamais autant pris conscience de la beauté du corps de Lolita à la lumière du soleil. Je ne saurais expliquer pourquoi. Étions-nous plus habillés les fois précédentes ? Ne l'ai-je pas autant regardée ? Ou tout simplement y avait-il trop de temps que je ne l'avais vu nue ?


Quoiqu'il en soit, alors que je venais de la récupérer à notre point de rendez-vous, elle montait dans ma voiture pour 15 ou 20 minutes de trajet supplémentaire pour rejoindre les rives du lac et un coin relativement moins exposé.

Rapidement ma main droite se posait sur sa cuisse, et nos paroles laissaient entrevoir l'impatience de nous retrouver. Je commençais à bander et en informait Lolita qui rapidement venait poser sa main sur mon sexe à travers mon short pour s'assurer que je disais la vérité. Puis elle me branlait doucement par peur de perturber ma conduite. Sage décision. Sauf que je ne suis pas sage. Je lui intimais de me sucer. Presque surprise elle me demandait confirmation, et j'acquiesçais en ouvrant ma fermeture éclair pour joindre le geste à la parole. Je sortais ma bite à l'air libre tandis que Lolita écartait la ceinture de sécurité de sa poitrine pour la passer sous sa taille, puis se penchait sur mon entrejambe. Je fixais la route avec attention et réduisais ma vitesse. Je crois que les chauffeurs de camion ont pu se rincer l'œil dans la hauteur de leur cabine s'ils ont été un minimum attentif et perspicace. Et puis je crois avoir aperçu dans le rétroviseur de la voiture qui nous précédait, le regard interloqué d'une dame qui pensait que j'étais seul dans ma voiture au moment où j'ai commencé à la suivre, alors que quelques minutes plus tard nous étions deux à l'avant. Pourtant je n'avais pas pu faire monter Lolita en marche. Magie ?

Garé au bord du lac, Lolita semblait ne plus vouloir se détacher de ma queue. J'aurais pu la laisser continuer, mais je n'avais pas envie de jouir au bord de la route, et pas l'envie de répandre mon foutre partout sur les sièges non plus. Je l'invitais donc à rejoindre la plage déserte. Encore déserte.


C'est à l'heure où beaucoup passent à table pour déjeuner que Lolita et moi nous nous allongions l'un à côté de l'autre. J'étais déjà nu et persuadé de pouvoir le rester tout l'après-midi. Lolita en culotte, soutien-gorge et petit top de dentelles et fines bretelles. Et déjà mes mains étaient attirées comme des aimants par sa peau lisse et bronzée. Entre deux baisers, je regardais mes doigts parcourir son corps, bluffé par ses courbes pures, le grain fin de son derme, sa fermeté, sa jeunesse.

Oui, sa jeunesse. Quand je regarde Lolita, je me dis que ce ne sont pas 9 ans qui nous séparent, mais 25.







Je l'ai mise à nu. Puis nous nous sommes aimés. J'ai le sentiment de l'avoir aimé bien trop vite, mais je n'en étais pas surpris non plus. Ni même honteux ou vexé. Lolita sait que je n'ai pas d'autre activité sexuelle qu'avec elle. Elle connaît donc parfaitement mes périodes d'abstinence, hors masturbation. Et c'est elle que je préfère aimer, pas moi.

En manque de cet exercice, j'ai eu chaud. Au point de laisser tomber une goutte de transpiration de mon front dans l'œil de Lolita. Quel gougeât !


L'eau du lac n'était qu'à 10 mètres. C'est nu que je m'y suis rendu en premier. Lolita m'emboitait le pas après avoir enfilé un maillot, tout en restant topless. Nous plongions dans une eau à 20/22°C, pas plus je pense. Parfaite pour nous rafraîchir, mais y rester aurait été plus difficile. Surtout pour un second coït. Et surtout, nous étions surpris soudainement d'entendre des bruits de plongeons pas très loin de nous dans la crique voisine. Je quittais l'eau pour enfiler mon maillot, de peur qu'il n'y ait des enfants. Lolita me suivait et je lui proposais de rester topless ; rien de choquant dans cette tenue, même devant des enfants sachant que nous étions en pleine nature et un peu en retrait par rapport aux zones plus exposées.

Point d'enfants en vue. Juste une promeneuse avec ses chiens en train de régler ses comptes au téléphone avec son partenaire nous semblait-il. Autant dire qu'elle n'a pas prêté attention à notre présence plus que cela, d'autant que nous commencions à déjeuner après avoir rejoint nos serviettes. Nous n'étions aux yeux de quiconque qu'un vulgaire couple en train de profiter des lieux.


Sauf que quelques minutes plus tard, alors que nous n'entendions plus les chiens plonger, ni la promeneuse vociférer, Lolita était allongée sur moi à m'embrasser à pleine bouche, et que je prenais un malin plaisir à lui caresser le cul, à lui écarter les fesses et à glisser finalement mon majeur bien tendu sous l'élastique de son maillot pour lui introduire cette phalange entre les lèvres.

Je sentais qu'elle appuyait de plus en plus son sexe contre le mien. Je sentais ses baisers de plus en plus fougueux. Et indéniablement, elle devait sentir ma queue durcir contre son ventre. Elle a saisi ma bite de ces doigts fins et agiles et a tenu à venir enrouler sa bouche tout autour. Je me suis laisser faire, tout en regardant ce magnifique spectacle.

J'ai pu admirer combien elle s'appliquait à me donner du plaisir, et combien elle aimait cela surtout. Je regardais la pointe de sa langue parcourir mon frein en quelques aller-retours tandis que ces doigts serraient fort le manche qu'ils tenaient. C'était divin. Mes doigts parcouraient ses cheveux, avec des idées d'appuyer fermement sur son occiput pour qu'elle me gobe jusqu'à la garde. Mais je m'abstenais, lui laissant mener la danse. Je regardais sa nuque avec des envies d'y mordiller sa fine peau. Mes doigts glissaient le long de sa colonne vertébrale, charpente toute délicate maintenue par une musculature qui démontre ô combien Lolita prend soin de son corps comme elle était en train de prendre soin du mien.

Elle s'est redressée, a passé ses genoux de part et d'autre de mes hanches, puis à écarter à son tour l'élastique de son maillot. Elle a saisi son jouet préféré pour le présenter à son intimité. Il s'y est introduit sans demander son reste, retrouvant la chaleur, l'humidité et les délices que je dégustais auparavant sur mes doigts.


Pour la seconde fois, je jouissais vraiment très fort. De ces jouissances si intenses qu'il vous est impossible de garder conscience de ce qui se passe autour. Elle vous empêche aussi de savoir si cette jouissance est partagée.

Je planais encore allongé sur le dos, laissant le soin à Lolita de me câliner. Elle s'assura lors d'un éclair de lucidité qu'il n'y avait personne de nouveau à proximité. Elle découvrait notre promeneuse de chien à une distance tout à fait idéale pour pouvoir nous observer tout en restant discrète. Aura-t ‘elle profité de nos ébats ? Peu nous importait puisque nous avions pris le soin de nous mettre tout de même relativement à l'abri des regards exceptés pour les personnes les plus piquées par la curiosité. Nous n'avions pas du tout le sentiment de nous exposer.


Nous nous sommes câlinés encore. Nous avons failli nous endormir quelques minutes tellement nous étions bien et heureux. D'autres promeneurs apparaissaient puis disparaissaient, parfois avec leur progéniture. Nous restions un peu sages et je continuais donc d'admirer Lolita. Le moindre de ces gestes me donnait de nouvelles envies.


Un exemple ? Toujours en maillot de bain et topless, elle me tourne le dos de 3/4, se penche en avant, attrape les coins de sa serviette pour l'étendre bien à plat après que nos ébats y aient créé des plis.

Moi, pendant ce temps-là, je regarde ses petits seins pendre dans le vide avec l'envie de les pincer, de les malaxer, ils sont si sensibles et réactifs. Ils bandent aussi facilement que moi !

Je regarde aussi ses fesses, bien sûr. Je remarque un élastique torsadé et je le remets en place délicatement. Romantique n'est-ce-pas ? Mais ce n'est pas du tout l'idée de départ ! Moi ce que j'imagine, c'est que je lui arrache le maillot avec les dents s'il le faut, et qu'ensuite, accroupie devant moi, je lui bouffe le cul avant de la prendre sauvagement en levrette. Et pourquoi pas même mon pouce dans son fondement, avant d'y plonger ma queue ? La culbuter si fort que comme les tortues en période de ponte, nous en laissions tous les deux des traces de ripage dans le sable, jusqu'à l'eau où je finirais de la combler, de la remplir, par tous les orifices.

Et puis vous voulez que je vous parle de ce tronc presque horizontal et d'un diamètre assez important à quelques centimètres du sol où j'ai eu des envies d'attacher Lolita, les fesses en l'air ? Les seins et le ventre contre l'écorce inconfortable...


Mais non. Bien trop de monde gravitait autour de nous. Et je reste quand même un grand romantique et un amant respectueux.

La preuve, j'ai pris un malin plaisir à la regarder se lever pour rejoindre le lac à quelques mètres alors que je restais assis sur ma serviette, et j'ai pu profiter de sa grâce naturelle, du moindre de ses mouvements de jambe, de bras. Le balancement de ses hanches, son ventre plat. Quand elle s'est inquiétée de ce que je faisais, je suis allé la rejoindre. Nous pensions alors pouvoir nous rebaigner, mais le soleil était moins intense et soufflait désormais une petite brise.

Quand les mouvements autour de nous se sont un peu apaisés, j'ai réalisé que Lolita était vraisemblablement restée sur sa faim. Qu'elle s'était beaucoup occupée de moi, au point que j'en était tombé dans les nimbes à deux reprises, sans m'inquiéter de sa dose de bonheur à elle. Je ne conçois pas l'amour et le sexe sans partage, ni équilibre.

J'ai glissé mes doigts sous son maillot et j'ai laissé libre court à mon instinct. J'embrassais Lolita partout où je le pouvais et j'écoutais ses petits gémissements. Je regardais ses reins se cambrer, ses jambes se replier, ses genoux s'écarter, son bassin en redemander. Et je sentais son sexe vibrer sous mes doigts.


J'ai le sentiment parfois (sans aucune prétention, juste pour partager l'idée) que je joue d'un instrument de musique comme le font les plus grands artistes. On dit en pareil cas qu’ils font corps avec leur instrument, ou bien même que l'instrument est le prolongement de leur corps. Je crois que je connais désormais assez bien les réactions de Lolita et que son corps, mon corps, bien au-delà du fait que nous nous accouplions, ne font plus qu'un.


Vous connaissez la suite. Le temps a passé. Trop vite. Il a fallu nous séparer, nous qui étions restés collés l'un à l'autre autant que ce fût possible. On s'est longuement embrassés et étreints au moment où elle s'apprêtait à monter dans sa voiture. Puis nous avons tous les deux pris des directions opposées pour retrouver notre vie. Mornes vies.



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