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sapionirique

Jouets, en toute sécurité

Sa portière côté passager s’est ouverte et je me suis engouffré dans sa voiture. Vite je me suis penché vers elle pour l’embrasser brièvement. Trop brièvement. Mais il n’est pas dans nos habitudes de gêner la circulation. Sécurité.

Comme je m’y attendais, pour me faire plaisir, elle avait enfilé sa petite robe jaune à fleurs. Une robe courte et légère, qui virevolte au moindre coup de vent. Dès nos premiers échanges, je ne pouvais ôter mon regard de ses cuisses bronzées, de ses escarpins posés sur les pédales. Des ses orteils sensuellement vernis de rouge incandescent.

L’index de ma main gauche est vite venu se poser sur sa peau pour remonter encore davantage les volutes légères jusqu'en haut de ses cuisses, mais il ne s’y est pas attardé. Sécurité d’abord ! Ma main s’est donc ravisée pour se poser au niveau de l’appui-tête afin de plonger mes doigts dans ses cheveux courts. Fraîchement passée chez le coiffeur, j’adore la coupe de Lolita.


Quelques minutes plus tard, nous prenions possession de notre chambre. Grande, à la lumière tamisée et fraîche de premier abord. C’était oublier qu’il faisait 35°C dehors.

Nous tombions tous les deux dans les bras l'un de l’autre, trop heureux de nous retrouver en chair et en os. Trop heureux de sentir nos lèvres se rencontrer, nos corps se serrer, bientôt nos corps se toucher.

Rapidement, j’ôtais la culotte sous la robe de Lolita, je suis toujours aussi pressé de poser ma paume chaude et puissante entre ses cuisses. Et dès que ce coquin processus est engagé, plus moyen de nous arrêter. Nous nous dépouillons mutuellement, jetant nos vêtements négligemment au sol pour nous jeter nus dans les bras l’un de l’autre.


Lolita s’est retrouvée allongée sur le dos, les fesses juste au coin du lit. J’ai pu enlever ma paume et glisser mes doigts farfouilleurs dans ses trésors ; jouer de ma langue sur ses lèvres. J’ai trouvé très confortable le fait de pouvoir rester debout, les pieds de chaque côté du coin du lit, avec la possibilité de fléchir plus ou moins mes jambes afin que mon sexe puisse fouiller le sien de fond en comble, de haut en bas, de droite à gauche.

Parfois je me penchais pour venir l’embrasser, lui mordiller le cou, les seins ; lui lécher la pomme, les tétons. Puis je me redressais pour la percuter de plus bel dans un bruit de couilles qui lui frappent son fondement. Je me régalais d’observer sa poitrine vibrer à chacun de mes assauts et d’entendre ses jérémiades de plaisir. Je lui caressais tout le corps en toute liberté de mouvement. Sa peau est si douce que mes doigts y glissent tout naturellement.

Par trop d’abstinence, c’est assez rapidement que j’ai joui. Pas en elle. Égoïstement, je me suis laisser aller à un de mes fantasmes inassouvi jusqu’ici : éjaculer sur son ventre, en espérant que mon jus l’inonde jusqu’aux seins et pourquoi pas jusqu’à son visage. Je ne pense pas que ce fut le cas, j’étais déjà perdu dans les méandres de l’orgasme. Jouissance suprême décuplé lorsque reprenant à peine mes sens, j’ai pu constater qu’elle se massait de ma semence comme elle l'aurait fait avec n'importe quelle crème hydratante en sortant de sa douche ! Je n’ai pas pu faire autrement que de venir m’allonger sur elle, dégoulinant de transpiration après l’effort. Lolita ne s’en offusque pas, nos ébats sont nés sous le signe des fluides et nous adorons ça.


Mais pourquoi diable cette climatisation ne fonctionnait elle pas ? Je profitais de ma période réfractaire pour la mettre en fonction, puisqu’elle était complètement arrêtée. Puis je retournais dans les bras de ma belle qui entamait de me câliner. Elle s’attardait sur mes tétons qu’elle maltraitait de sa langue, de ses dents et déjà j’en gémissais de bonheur. C’est avec délice que je me laissais aller à ses caresses et ses baisers qu’elle me délivrait partout. Alors que je tombais peut-être dans une certaine torpeur, j’ai senti que sa bouche sucrée glissait lentement mais sûrement vers ma bite molle. Rien que l’idée de deviner où elle voulait en venir commençait à m’exciter à nouveau.



Quand sa bouche s’est enroulée autour de mon gland, j’ai savouré mon bonheur. J'ai réellement perçu la minutie avec laquelle Lolita s'est attelée à me donner du bonheur. J'étais ému à cet instant. On était bien loin d'une simple fellation, Lolita jouait de moi en me gobant les testicules, en les caressant ; glissant un doigt coquin sur mon anus offert. Sa langue humide glissait de mes couilles jusqu’à mon frein et c’est assez rapidement que j’ai commencé à sentir mon corps se remplir de spasmes de plus en plus délicieux. Je m'abandonnais. Ce n'est pas si fréquent pour moi.

J’aurais pu aller jusqu’à jouir une nouvelle fois, mais Lolita sevrée de mon jus au fond de ses entrailles est venue chercher un bonheur légitime en s’empalant sur mon pieu lubrifié de la plus belle des manières.


Je pense savoir que c’est une de ses positions préférées, car dès que l’occasion se présente elle s’y adonne et je la vois vraiment prendre du plaisir. Je regrette que ce ne soit pas si jouissif pour moi puisque je ne sens pas mon sexe stimulé. En revanche, rien que pour la vue que Lolita m’offre et la facilité avec laquelle je peux jouer de mes mains sur son corps ; caressant tantôt ses seins, pinçant tantôt ses tétons, appuyant tantôt sur son détonateur quand elle ne l’écrase pas sur mon pubis ; je kiffe cette position.

Sauf que « Popol » se rendort à l'occasion. Mais c’est sans compter sur les initiatives de bons sens de Ma Belle Amazone qui continue de me « Crabouiller », en prenant cette fois appui sur ses pieds. Elle s’empale de plus bel, mais j’ai beaucoup plus de liberté pour donner des coups de reins comme pour l’envoyer au plafond ! Ses seins pris de secousses m’excitent encore davantage, ainsi que la vue de sa belle petite chatte gonflée de désir. Ma matraque reprend ainsi plus de vigueur.

Cette fois-ci je lui ai saisi fermement les hanches, et au moment où je la percutais pour l’envoyer au ciel, mes mains la plaquaient aussi sec contre ma bite ; jusqu’à la garde. Là encore, j’ai pu me régaler des yeux révulsés de Lolita, synonyme d’abandon.

Position assez physique qu’il vaut mieux ne pas laisser trop durer.


L’heure était venue de présenter à Mon Amoureuse les nouveaux jouets que je souhaitais essayer. Je m’emparais alors d’un cockring de 4 anneaux surmonté d’aspérités destinées à lui stimuler le point G, et c’est Lolita que se chargeait de le mettre en place.

Nous reprenions alors nos ébats. Savoureux pour moi, même si je ne pouvais que constater à chaque coup de rein que les anneaux remontaient le long de ma queue jusqu'à mon pubis en lieu et place de combler encore un peu plus les trésors de Lolita.

Jouir avec cette sensation que, trop compressée par les anneaux, ma bite ne peut qu’exploser, rajoute encore plus de jouissance. Un petit mélange de plaisir et de souffrance qui n’a pas été pour me déplaire.


De mémoire j’ai filé à la douche. Froide. Lolita m’y a rejoint, en tournant le mitigeur sur chaud. Puis l’heure du déjeuner a sonné. En prenant garde de ne pas écraser nos victuailles sitôt nos premiers câlins revenus. Que voulez-vous, on ne prend pas le temps de débarrasser la table !


J’ai récupéré le second jouet. Un gode à fixer sur mon sexe et mes grelots pour une double pénétration. L’objet s’est avéré difficile à utiliser malgré toute mon attention pour lubrifier l’intimité de Lolita. Par peur de la blesser, je lui laissais même l’initiative de placer le gode et l’avisais avec des mots simples que si elle n’y prenait aucun plaisir, on stoppait notre petit jeu déluré.

J’ai encore joui très fort. Tellement fort que je n’en apprécie pas vraiment la jouissance de Lolita. « Jouit elle de ma queue ? ».

Je suis sûr qu'elle prend son pieds quand je m’occupe d’elle, quand je la caresse et que lentement je devine son corps qui se contracte, ses yeux qui se ferment, parfois semblant même se révulser. Quand ses murmures deviennent des gémissements et que les veines de son cou deviennent apparentes ; que ses seins gonflent et que ses lèvres rougissent. Alors, à cet instant précis, je sais exactement sur quelle zone placer mes doigts et avec quelle force je dois l’y appliquer. Alors oui ; c’est là que le plus beau des spectacles pour mes yeux commence : Lolita se liquéfie et je la devine se perdre comme je me perds quand je jouis en elle.



Et elle n’a pas dérogé à la règle lorsque j’ai pu recouvrer mes esprits et enlever le jouet simulateur de double pénétration qui me serrait encore fort la bite. Ma Folle Coquine s’est positionnée en levrette et j’avoue que si mon état de fatigue n’avait pas été aussi avancé, je me serais bien positionné pour une onctueuse sodomie, mais je connais mes limites.

Et ce sont mes doigts qui sont entrés en action. Partis à la recherche du foutre que je venais de lui administrer. Lentement, un doigt puis un autre, alors que ma main libre immobilisait fermement les reins de Lolita, tout en sondant ses mouvements de corps, ses réactions. J’étais à un doigt d’un de mes fantasmes : un fist. Sans bavure, sans torture.


Il me semble que nous étions alors repus. Enfin surtout moi. Lolita ne semble jamais l’être. Elle plane, mais ne sombre pas. L’épuiser reste donc un autre de mes fantasmes. Que je garde pour une prochaine rencontre. Un rendez-vous où elle ne sera pas obligée de prendre le volant pour rentrer. Je vous l’ai dit tout à l’heure : « Sécurité d’abord ! »




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