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À la découverte de quelques fantasmes

Cette fois-ci, c'était mon tour de venir un peu plus près de Lolita qu'à l'accoutumée. Parce qu'à n'importe quel moment ou presque, son téléphone peut retentir, même un jour férié, et qu'elle doit alors rejoindre son lieu de travail. Mais ça a son avantage : quand elle bosse, même son mari n'est pas sensé pouvoir la joindre. Pour ne pas dire "la déranger".

De mon côté c'est toujours l'alibi sportif qui prédomine. Avec le risque d'être appelé et de devoir répondre dans les minutes qui suivent. Pour ma femme, le silence est synonyme de problème. Mais je prends le risque.

On avait une bonne partie de la journée pour nous deux, et il était convenu que l'on aille randonner au départ de notre point de rendez-vous.

Juste avant de fouler la piste forestière, je demandais à Lolita de mettre ses boules de geisha entre ses cuisses. Bien décidé à lui réveiller les papillons dans le ventre si cela était encore nécessaire.


3h30 de marche, qui se sont avérés n'être que 2h45, pauses branlette et déjeuner inclus.

La première après 1h30 d'efforts dès qu'un sous-bois fût propice à mon envie de sortir ma queue à l'air libre alors que j'emboitais le pas de Lolita. Je n'avais plus qu'à attendre qu'elle le remarque. Et pendant ce temps, je me tripotais en matant son cul.

C'est vrai, j'ai accéléré le processus. Je l'ai soudain saisi par la taille en l'invitant à se retourner. Elle m'a d'abord embrassé. C'est ensuite qu'elle a aperçu mon chibre aux abois. Elle s'en est emparé fermement pour ne le lâcher qu'après l'avoir fait dégorger.

Elle répondait ainsi à un de mes fantasmes. Jamais je ne m'étais fait branler jusqu'à l'éjaculation.

Je ne sais par quel miracle son short (et même le mien !) n'ont été souillé que de quelques gouttes de mon foutre. En revanche Lolita a été contrainte de sortir les mouchoirs en papier pour essuyer la longue coulure qui lui dégoulinait le long de la jambe, jusqu'à sa chaussette.


La pause déjeuner a été beaucoup plus sage. Normal, il a commencé à pleuvoir. On s'est presque hâté de finir et de revenir vers nos véhicules. Mais la météo nous a épargné une douche froide.


Vers 14H, nous étions de retour à nos véhicules avec l'idée de foncer à l'hôtel. Certains diraient que nous avions le sang qui boue. Pour ma part j'avais le bout en sang. Je payais mes coquineries qui m'avaient poussé à porter un short sans rien dessous.

Et que se passe-t-il lorsque l'on porte un short acrylique et que l'on bandouille pendant 2H45 de marche à sentir la main de son amoureuse dans la sienne et qu'on l'imagine dans son short ? Et ben ça brûle le gland ! Jusqu'au sang même.

Autant dire que je craignais ne pas supporter le moindre coït en roulant vers l'hôtel. Mais je ne devais en vouloir qu'à moi-même.


Moins d'un quart d'heure après, Lolita allait assouvir un besoin naturel, tandis que je me déshabillais pour me jeter sous la douche. Je me sentais sale. Cependant, lorsqu'elle est réapparue, c'est plutôt Mon Amoureuse qui s'est jetée sur moi, me rappelant au passage qu'elle venait de parcourir en marchant, 10Km avec des boules de geisha entre les cuisses. Et que bien évidemment, elle n'en pouvait plus de me désirer.

Elle cache bien son jeu. J'avoue avoir oublié qu'elle les portait la plupart du temps durant notre randonnée. J'y ai pensé au tout début, puis lors de notre petite pause masturbatoire ; mais ensuite presque plus. Je n'ai même pas pensé à lui proposer de les retirer pour prendre le volant entre la forêt et l'hôtel. Heureusement, elle en a pris l'initiative.

Elle m'a poussé vers le lit pour que j'y tombe à la renverse, puis s'est littéralement jetée sur moi. Je l'ai senti bouillante et pleine d'ardeur dès que sa peau douce s'est collée contre moi. J'ai aimé ses baisers à pleine bouche, remplis de voracité, de désir. Déjà elle se redressait face à moi pour que je la comble, et si je ne pouvais alors plus l'embrasser, je pouvais lui caresser les seins, les prendre à pleine main et les caresser, les malaxer, les triturer. Mais j'aime trop ses baisers, je me suis redressé en appui sur mes mains dans mon dos, et je lui ai à nouveau mangé la bouche pendant qu'elle montait et descendait sur mon pieu. Par le plus grand des bonheurs, j'ai pu constater que je ne souffrais pas de l'irritation qui m'avait ensanglanté le méat et la partie supérieure de mon gland.

Je me suis assis et j'ai étreint de toutes mes forces Lolita contre ma poitrine, puis je quittais le lit pour me mettre debout et la plaquer contre le mur froid et rugueux. À chaque nouvelle tentative, je me rends compte comme j'ai peu de force dans les bras par rapport à mes jambes de cycliste. J'ai tellement peur de la faire tomber ou même glisser entre mes bras. Mon Arapède devrait peut-être me serrer encore davantage elle aussi, avec ses jambes autour de mon bassin, avec ses petits bras autour de mon cou.

Il me semble qu'on s'en est sorti quand même, le lit n'était pas loin derrière moi et quand j'ai senti que mes forces s'amenuisaient, je me suis laissé tomber dessus, Lolita encore dans mes bras. Elle s'est empalée comme elle sait si bien s'y adonner. Et pour répondre une nouvelle fois à un de mes fantasmes, elle s'est mise de dos pour que je puisse observer son cul monter et descendre sur mon chibre.


C'est ainsi que se sont succédées nos différents ébats amoureux et libidineux. La couette en guise d’éponge comme à chaque rencontre, mais nous n'en avions pas terminé d'échanger nos effluves. Lolita me faisait maintenant part d'une de ses envies, de ses fantasmes ; et c'est assez rare pour être souligné : tester ensemble mon stimulateur prostatique.

Je ne l'avais essayé que par deux fois et seul.

La première fois chez moi, allongé sur mon canapé et avec du temps libre devant moi. J'ai mis beaucoup de temps à placer l'objet de peur de me faire mal, et pas mal de temps pour le régler afin qu'il se place bien contre ma prostate. Ensuite je l'ai apprivoisé en regardant des photos de Lolita sur mon smartphone.

J'ai d'abord été surpris par cette envie irrépressible d'uriner, coupant ainsi toute érection. Et j'ai pu constater que oui, effectivement, stimuler la prostate est très excitant. Je ne sais pas si j'ai joui, mais j'ai été pris de spasmes violents qui m'ont collé au canapé pendant de longues minutes alors qu'une éjaculation dure quelques secondes. Cette fois-là, je n'ai pas bandé, je n'ai pas éjaculé. Était-ce un orgasme ? Je pense que oui. Un orgasme se rapprochant fortement de l'orgasme féminin, il me semble.

La seconde fois où j'ai sorti mon jouet, Lolita en avait pris les commandes depuis son domicile puisqu'il s'agit d'un modèle connecté à l'Internet. Je me suis masturbé afin de forcer l'érection ; et de mémoire, si j'ai joui et éjaculé, les sensations anales n'en étaient peut-être pas complètement à l'origine. L'expérience me laissait la satisfaction d'avoir partagé ce moment avec Lolita, mais je l'avais vécu avec beaucoup moins d'intensité que la première fois.

J'ai remis mon gode à Ma Chérie après l'avoir allumé. C'est non sans mal que nous avons réussi à le connecter à son téléphone, mais nous y sommes parvenus tout de même. Une noisette de vaseline à son sommet plus tard, nous nous retrouvions en 69 de côté, et je me concentrais à lui bouffer sa délicieuse petite chatte.

Au début je n'entendais que le petit bruit en sourdine de son moteur, puis j'ai senti les premiers stimuli prostatiques. Je ne bandais pas, et me rappelant mon expérience en solitaire, je m'en félicitais presque. Pourtant Lolita me léchait comme une lionne lèche ses petits, du gland jusqu'aux couilles, et me caressait le braquemard en attendant qu'il durcisse.

J'entrais désormais dans la phase des premiers spasmes, et je m'entendais commencer à gémir. J'étais maintenant à quatre pattes, Mon Amoureuse allongée sur le dos en-dessous. Le gode planté dans mon cul semblait vouloir s'en échapper, pressé qu'il était par mes contractions, et Lolita ne se faisait pas prier pour bien me l'enfoncer bien profond à nouveau.

Sous mes yeux, au travers son con lubrifié de ma salive, je devinais son excitation grandir. Ses lèvres commençaient à gonfler et à prendre cette couleur pourpre qui ne trompe pas. Mes doigts s'y sont enfouis, et je l'ai branlée si fort qu'il me semble que j'aurais pu lui soulever tout le bassin. Soudain j'ai vu deux petits ruisselets jaillir sous la paume de ma main et dessiner un "V" sur les plis de ses aines, pour venir mourir en cascade dans la couette où il était désormais compliqué de trouver un espace sec.

J’ai lapé son ventre et j'ai pris conscience que je bandais très fort, que le feu gagnait tout mon corps et que rien ne pourrait l'éteindre. Je me suis retourné pour faire face à Ma Fontaine de Jouissance et je me suis laissé emporter par le bonheur.


Peut-être nos doigts se sont-ils entrecroisés, peut-être lui ai-je susurré des "Je t'aime" au creux de l'oreille ; je ne sais plus. Tout ce dont je me souviens, ce sont les étoiles dans mes yeux et le big-bang dans tout mon bas-ventre.

Il me reste cependant une image sublime en mémoire, et je n'ai plus aucune notion de quel moment dans l'après-midi elle date. Une image que j'aurais voulu immortaliser en photographiant Lolita exactement à ce moment-là. Les photographes appellent ce moment "l'instant", parce que quelques secondes avant ou quelques secondes après, ce n'est plus "l'instant" et la photo n'est plus aussi belle, ne délivre plus le même message.

Elle était allongée sur le dos, sur le bord inférieur du lit, ses jambes pliées à angle droit et les pieds certainement posés au sol. Ses mains étaient posées juste sous sa poitrine, sans se toucher, avec un petit décalage : l'une touchait presque la base de ses petits seins tous ronds, l'autre était davantage au niveau du ventre.

J'étais debout juste à côté d'elle, à l'observer et à l'écouter. Lolita me parlait en souriant. Je ne me souviens plus du sujet de la discussion, mais pendant quelques secondes, j'ai entendu ma petite voix intérieure me dire :

"Regarde comme elle est belle, là juste maintenant, et comment tu ne peux pas l'interrompre pour lui dire que tu veux la prendre là tout de suite en photo".

Je n'ai pas répondu à cette voix. Je me suis juste dit que j'aimerais simplement la prendre. L'enlever. La sortir de sa routine quotidienne. Avant de réaliser que de mon côté aussi il faudrait m'en sortir.

Alors je suis revenu à une idée beaucoup plus primaire, comme un homme peut l'être : la prendre oui, mais en levrette.


Ça n'a même pas été le cas ! Et au rythme où nous explorons nos fantasmes, allez savoir si la prochaine fois, ce n'est pas elle qui me prendra ainsi ?


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